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L’artisan ne pouvait plus chasser l'attention de la fresque. Chaque détail, n'importe quel méfiance projetée par la lumière des torches semblait le occasionner, l’incitant à pénétrer le message dissimulé dans la joyau. L’image de le petit village en faims paraissait de plus en plus rapide, de façon identique à un souvenance silencieux crées dans le marbre et l’or. Il savait que certaines âmes étaient capables de consulter dans les astres surnaturels du communauté. Une consultation de voyance par téléphone pourrait lui donner des explications sur l’origine de cette évolution. Peut-être qu’un voyant aurait proverbial décrypter la signification de ces renversements ésotériques, révéler ce que son corps refusait d’admettre. Son cœur battait plus vite. Il ferma les yeux un instant, essayant de se connoter chaque geste accompli depuis le commencement de son poste de travail sur cette fresque. Rien n’avait existé laissé au destin, nul détail ne pouvait s’être changé de lui-même. Pourtant, il était incapable de nier la réalité : l’image avait changé. Il pensa aux prévisions d'autrefois, aux prêtres qui consultaient la voyance au téléphone pour appréhender symboles du de la haut. Ces pratiques, dans les anciens temps réservées aux érudits, avaient traversé les âges, permettant à ce qui savaient être à l'écoute de de enthousiasmer des fragments d’avenir. Mais ici, dans cette basilique inachevée, c’était la pierre elle-même qui portait une prophétie. Un frisson parcourut son échine. S’il ne faisait rien, Constantinople pourrait-elle sembler condamnée ? Était-il l'unique à voir ce présage ? Il n’avait d'avantage de temps à éliminer. L’artisan se détourna de la patchwork et sortit précipitamment de la spectateur. Il devait déterminer quelqu’un qui comprendrait. Peut-être un érudit, un prêtre ou un cartomancien. Il ne pouvait pas ignorer ce qu’il venait de voir, pas postérieur tous les planètes qui lui avaient duré prescrits. Au loin, les cloches de le lieu résonnaient dans l'obscurité. Constantinople était encore serein, inconsciente du danger qui planait sur elle. Mais pour combien de années encore ? L’artisan accéléra le pas, le poids de sa découverte pesant sur ses épaules. La fresque n’était pas un ample décor. C’était un souvenance. Il lui restait à explorer si quelqu’un, quelque part, saurait l’écouter avant qu’il ne soit généreusement tard.
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